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Michel Poubelle

6 Juin 2006 – 06/06/06 – 666

Le chiffre de la bête, le retour de Satan sur terre. Est ce un signe ?

Quoi qu’il en soit je connais deux gémeaux dont c’est aujourd’hui l’avènement, et pas des moindres.

D’abord, la talentueuse Lotte dont j’apprécis le dessin fin et racé, ainsi que l’humour et la légèreté.

Ensuite, Last But not Least, Michel, mon petit frêre en exil sur les tristes îles Canaries, à qui j’ai décidé de consacrer enfin l’article qu’il méritait sur mon site.

C’est là !

Pas Vu, Mais Nul

Il y a de cela quelques années, j’avais pour un fanzine un projet de rubrique qui rebondissait sur une actualité bouillante. Patrice Leconte reprochait aux critiques, et particulièrement à ceux de Télérama, de faire preuve de snobisme intellectuel en assassinant tous les films qu’ils avaient à commenter. Il me semble qu’il y a eu quelques progrès depuis, les critiques acceptant enfin qu’un bon divertissement ne soit pas corrélairement un film de merde, vu qu’il touchait son public. C’est vrai ça, pourquoi les plus grosse bouses font elles le plus d’entrés ? Peut être parce que les critiques sont bien loin des préoccupation de la France d’en bas ?

Voici donc une critique pleine de mauvaise fois sur un film que je n’avais pas encore vu, et dont je ne savait pas grand chose. Certes, je partait avec un a priori très positif, vu que j’adore Tim Burton, et que j’aime beaucoup Johnny Depp.

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Saloperie de machine

Wouala, j’avais prévu une superbe aide de jeu sur la création de background, et mon ordi a tout mangé au moment de la sauvegarde finale.

Ca va me donner l’occasion de tout réécrire vu que je n’était pas totalement content de ma prose, mais c’est donc pas demain que vous verrez un nouveau billet intéressant sur ce blog.

Milles excuses aux rares fidèles.

Starak de St Preux : planqués !

Les règles du jeu
Le premier chapitre
Le précédent chapitre

Peu désireux d’être à nouveaux confronté à la menace Vaukh, doutant de l’efficacité de votre arme, vous courrez à la suite de Karlovson et Vigor.

Le buisson. Il n’était pas là à l’instant. Les deux scientifiques ont sûrement une cache dessous. Vous vous jetez à travers les feuillages espérant les rejoindre.

Le choc de votre tête sur une plaque métallique produit un bruit sourd. Désorienté, vous titubez, ne sachant plus quelle direction suivre. Si vous restez ici, les Vaukhs vont vous trouver !

Une main vous aggripe, et vous tire à l’interieur de la grotte que cachait la porte-buisson.

"Abrutis, vous voulez vraiment nous griller !
– Vigor, cessez de vociférer. Vous faites plus de mal que de bien. Cet homme ne comprend pas tous les enjeux de notre travail.
– Votre travail ? Mais vous ne cherchez pas à quitter cette planète ?
– Pas vraiment, chuchute Karlovson, nous essayons surtout de rétablir nos canaux de transmission avec le Cathécroiseur le plus proche, afin de faire venir des renforts militaires et plus de chercheurs. Nous sommes à l’aube d’une découverte phéno…
– Chut, ils approchent."

L’attente vous semble durer une éternité. Finalement, Karlovson brise le silence.

"Notre zone de recherche est un lieu que les Vaukhs considèrent à la fois comme maudit et comme sacré. Si ce dualisme à lui seul constituerait un excellent sujet de recherche, il nous interdit surtout une approche conventionnelle du site archéologique. C’est pourquoi nous avons de nombreuses caches à proximité, loué soit le Grand Etre.
– Vous avez violé un lieu sacré des Vaukhs ?
– Cette endroit appartient au patrimoine de l’humanité. Nous n’avons fait que notre devoir de xénoarchéologue en usant de tous les stratagèmes afin de l’étudier.
– Et puis c’est pas une espèce infidèle et archaïque qui va faire la loi face à la volonté du Grand Etre, précise Vigor."

L’air géné par cette remarque, Karlovson change de sujet.

"Nous devons attendre la tombée de la nuit avant de rejoindre notre vaisseau. Les Vaukhs ne tenteront rien s’ils ne se sentent pas protégés par un de leurs soleils."

  • Attendez-vous avec les deux scientifiques que le danger disparaisse ?
  • A moins que vous ne vouliez sortir de votre cachette, pour livrer les deux scientifiques profanateurs aux Vaukhs, et négocier votre liberté ?

Stitch aux Iles Canaries

Certains se sont plaint de mon silence très peu de temps après l’ouverture du blog. Et bien si vous m’en avez voulut ne serais ce qu’un peu, préparer vous à devoir recycler ce sentiment lorsque vous apprendrez la raison de mon absence.

J’étais aux Iles Canaries.

Oui, là où c’est toujours le printemps, ou les filles ne s’habillent qu’en string (que l’on cherche derrière les fesses rebondies), et où mon petit frêre habite.

Bien maintenant que vous êtes bien dégouté, je me permet d’en rajouter encore une couche : le billet sur les traîtres a été publié pendant mes vacances. Ca veut dire que je suis partie longtemps, comme tout bon fonctionnaire de l’éducation nationale pendant les congés de Pacques.

Comme je suis d’humeur reposée, je vais pardonner vos excès de langages et vos pensés inamicales, et vous offrir un petit lien vers les belles photos de ce séjour présenté par notre destructeur camarade de périgrinations :

Les Voyages de Stitch

Y a aussi les photos de Barcelone. Oui on y a fait un tour en rentrant.

Allez, pour le prochain billet je fait mon chapitre de Starak de St Preux.

Vous voyez bien que je ne suis pas ingrat ?